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CINZERELLA: la violence de la dark romance mafia et la sensualité de la romance loups mêlées dans une revisite de Cendrillon, sombre et puissante…
Cinzia:
Je suis la fille du traître. Celle qui cache son nom, celle qu’on avilit. On me nomme Cinzerella.
Pour survivre et sauver mon petit frère d’infortune, je dois épouser un chef de clan, puissant. Mais, dans ce monde de loups mafieux où chaque homme est un assassin, je ne crois plus au prince charmant.
Et à ce bal maudit, c’est le « prince des tourments » qui m’a revendiquée. L’héritier d’une lignée cruelle, ce fiancé que j’ai fui dans l’enfance… Joaquin Nielsen ne sait pas qui je suis, il n’est pas censé être mon âme sœur.
Et pourtant, sans cesse, le destin me livre à lui.
Joaquin:
On a gelé mon âme pour faire de moi le chef le plus craint des clans.
Pour asseoir mon empire de sang, je dois forger une alliance.
Mais à la seconde où je la vois, cette inconnue, je la veux, elle seule.
Elle peut se cacher, fuir, se débattre… Je la retrouverai.
Et je la posséderai.
⚠️Dark Romance
Ce roman contient des scènes explicites et de la violence.
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⭐⭐⭐⭐⭐ «Joaquin et Cinzia… Leur relation est à la fois fragile et explosive. On a parfois vraiment l’impression que notre cœur va s’arrêter tellement l’intensité est forte.» retour de bêta lectrice
Lire le premier chapitre:
Cinzerella
Chapitre 1 : une Cendrillon éteinte
Cinzia
L’ombre règne dans le bureau et s’étend sur le visage de la femme qui dirige ma vie : ma belle-mère, madame de Trevanza.
À l’époque où ma mère était encore en vie, la pièce rayonnait de clarté, mais madame de Trevanza n’aime pas la lumière. Elle scelle la fenêtre donnant sur le jardin avec un lourd rideau de velours bleu nuit.
La voix claquante comme un fouet de ma belle-mère me fait frémir :
— Venir au dernier bal de présentation ? Toi ? À Los Angeles ? Eh bien… Pourquoi pas. Mais j’ai une tâche importante pour toi, Cinzerella. Et si c’est fait avant ce soir, tu pourras venir avec nous.
Mon regard s’agrandit d’espoir. J’ai raté tous les bals de ces dernières années. Depuis ma majorité, ma belle-mère a toujours tout fait pour m’empêcher de venir à ces événements.
Ce bal-là n’était pas prévu, mais l’invitation de dernière minute vient d’un clan puissant et reconnu. Tous les jeunes chefs de clan du continent seront présents. C’est une occasion désespérée d’enfin rencontrer un mari.
L’espoir sur mon visage fait sourire ma belle-mère, un demi-sourire, à peine esquissé, hautain, presque un rictus. Elle ajoute :
— Si tu trouves quelque chose de décent à te mettre, évidemment.
De son large éventail de bois d’ébène et de dentelle noire, madame de Trevanza désigne mes vêtements usés jusqu’à la corde.
C’est un détail. Une vieille robe de ma mère suffira. Dans le clan, nous ne trouvons pas nos vrais compagnons avec de la soie, de faux seins et des bijoux, non, l’esprit du loup dans notre inconscient sait reconnaître son âme sœur. Quelque part dans le monde, l’homme à qui je suis destinée m’attend.
Agacée par mon absence de réaction, madame de Trevanza fait claquer son grand éventail noir dans sa main pour me faire sursauter. Elle m’annonce la tâche qu’elle m’a réservée :
— Les cabines privées du club Nocturna ont besoin d’être nettoyées de fond en comble, Cinzerella.
J’ai un haut-le-cœur. Je sais bien à quoi ressemblent ces alcôves tapissées d’un luxueux velours élimé, ces places discrètes où des hommes s’affalent en regardant les filles faire leurs strip-teases derrière le miroir sans tain. Des pièces intimistes où le pervers est seul pour se faire plaisir. C’est immonde, ce qu’on trouve là-dedans.
Je réprime mon hoquet de dégoût et réponds :
— Oui, Mère.
Et ce mot m’arrache le cœur. Elle le sait. Madame de Trevanza oblige la Terre entière à l’appeler « Duchesse », car la lignée de « madame » appartenait à la noblesse italienne, il paraît. Ses deux stupides filles s’en vantent assez. Mais moi, elle veut que je l’appelle « mère ». Plus qu’une bassesse, c’est une torture psychologique.
Je me mords l’intérieur de la joue pour me passer le sentiment de révolte qui me saisit. Mais ma souffrance intérieure doit se lire sur mon visage, un demi-sourire à peine visible dans l’ombre échappe à madame de Trevanza.
Que la méchanceté l’enlaidit…
Son visage digne et pâle, imperturbable, serait encore beau malgré l’allongement du menton et son nez trop étroit, comme une lame de couteau. Seules quelques pattes d’oie strient ses yeux magnifiques, d’un bleu puissant presque violet.
Mon manque de réaction devant ses provocations agace la « Duchesse ». Elle enchaîne les ordres :
— Et puis, tu t’occuperas aussi des loges des filles et des coulisses de la scène. Et puis…
La liste s’allonge et mes yeux s’écarquillent d’une colère outrée :
— Pour ce soir ? Mais c’est impossible !
Ses yeux violets dans la pénombre semblent briller et c’est toujours annonciateur d’une punition. Je détourne aussitôt mon regard sur les livres aux jaspages d’or et aux reliures de cuir de la bibliothèque. Ils appartenaient aussi à ma mère. Tout ce que madame de Trevanza a ajouté dans la pièce, c’est une armoire à secrets, un magnifique meuble de marqueterie datant de la Renaissance italienne, constellé de tiroirs cachés dans lesquels elle dissimule ses correspondances d’intrigante.
Ne t’occupe pas de ça. La politique ne te regarde pas.
Un mouvement attire mon attention. La Duchesse pose l’éventail et saisit la baguette sur son bureau, ce morceau de bois de bouleau poli, souple et claquant comme un fouet. Je connais ses morsures et je me raidis.
Brandissant la baguette dans un lent mouvement, elle me réclame :
— Tends tes mains, Cinzerella.
J’obéis en grimaçant, lui tendant le bout de mes doigts vers le haut, fermant fort les paupières. Pas tant pour ne pas voir les coups, non, c’est son sourire en coin que je ne supporte pas.
Le bruit de la baguette de bouleau qui fend le vent se finit par une vibration dans le bout de mes doigts, qui se transmet à tout mon corps, la plainte vive et cinglante, profonde de cette partie sensible du corps.
Chaque coup résonne dans mes os, mais ne laisse presque pas de marque. J’en ai bien d’autres, des marques, qu’elle m’a laissées pourtant, quand la baguette frappe les mollets, les stries mettent si longtemps à s’effacer.
Son ton glacial me saisit plus encore que la douleur :
— Et ne t’avise pas d’en parler à ton père.
Je réprime mon grondement de rage. Car Ignacio Lozano, le second en commandement du clan de Bakersfield, n’est pas mon père. C’est juste l’homme qui a épousé ma mère en deuil et qui l’a tuée en essayant de l’aimer. Car une louve ne peut pas oublier son premier amour, surtout s’il était son âme sœur.
Ignacio n’est pas mon père, mais il m’apprécie assez pour me protéger. Sauf que s’il se dispute avec la Duchesse, cela l’énervera. Et quand mon beau-père se met en colère, c’est une souris innocente qui prend : Sören.
Le petit garçon refuse toujours d’avouer, inventant des chutes abracadabrantes, des bagarres fictives avec les garçons du clan… Mais je sais qu’il ment. Mon beau-père bat son fils de dix ans.
Alors j’endure les coups. Je me mords plus fort l’intérieur de la joue, jusqu’au sang. Et j’attends que passe la punition, en silence, comme toujours.
Je pourrais bien sûr fuir avec ma souris… Jusqu’à ce que le clan nous retrouve et nous mette à mort.
Parce que s’il y a bien une chose qui est interdite dans notre monde barbare, c’est la fuite. Fuir, c’est trahir nos secrets. On naît dans le clan et on y reste pour l’éternité.
Ma seule chance d’arracher Sören à son enfer est de me trouver un époux puissant.
C’est un doux rêve de contes de fées : un bal, mon âme sœur qui me reconnaît de loin et se précipite vers moi… Mon prince m’épousera et je reviendrai dans ce petit clan de province entourée d’honneur. Alors je réclamerai mon frère d’infortune avec qui je ne partage pas une goutte de sang, juste des larmes.
C’est promis, Sören. Je trouverai un chef de clan pour te protéger et ton conte de fées à toi finira bien.
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⭐⭐⭐⭐⭐ « Ça y est, j’ai fini Cinzerella! Je me suis régalée! » retour de betâ lectrice
⚠️Dark Romance
Ce roman contient des scènes explicites et de la violence.
Alia San
Hello chère lectrice, permets-moi de me présenter! Ici Alia San. Fan de mangas, de dramas coréens, d’Alexandre Dumas et de films d’horreur, j’aime autant les monstres que les mots. À travers mes livres, je cherche à te transmettre des émotions puissantes pour t’emporter dans un autre monde, le monde des clans, entre mafia et magie ancestrale.
Cartels, mafia russe, italienne, Triades ou bikers se mêlent à des pouvoirs totémiques d’animaux pour te faire frissonner.
Mon tout prochain roman en plus de mêler loups et mafia pénètre dans la zone trouble des contes revisités. Le prince des tourments de ma Cinzerella te perdra dans l’univers des clans…
Alia
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